lundi 22 novembre 2010

Encore de la vermine.

Sauf que cette fois, c'est un rat. PAS dans la maison. Non, non. Hier soir, je revenais de chez une amie, vers les 17h00. Il faisait déjà noir, je me suis trompée de route (dah) et je me suis ramassée sur un chemin de campagne i-n-t-e-r-m-i-n-a-b-l-e.
Il s'appelait "Chemin du Grand bois", c'était de bon ton.

À un moment, j'ai cru devoir arrêter à une maison pour demander si j'allais, un jour, finir par arriver à quelque part. Mais je n'aurais su vers quelle chaumière me diriger, à cette heure, tout prend une allure un peu macabre, malgré les lumières de Noël qui commencent à pousser sur les murs.

Ainsi, j'ai allumé les "hautes", question de voir mieux où je zigzaguais ainsi et c'est là que PAF!, j'ai écrasé un maudit gros rat qui traversait la route à CE moment-là. De même, l'idiot. Y'a qu'une voiture qui passe ici et tu viens la rencontrer?

Décidément, je suis trop sympathique avec les bestioles vermineuses.

Il est où le gourou qui va me raconter ce que j'ai fait dans une vie antérieure, hein?

Je dois avoir mangé trop de fromage, étant une duchesse hautaine des années de grâce. C'est pour ça que je suis intolérante au lactose et que mon garçon crie aïgu???

Tiens, je pourrais peut-être m'ouvrir une compagnie d'extermination écologique. Même pas besoin de poison, les bebittes viennent à moi avec l'insouciance que seules elles connaissent. C'est peut-être ça, mon avenir professionnel?

X-Terminator???

Hahaha.

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